« Avez-vous noté que chaque fois que vous êtes sur le point de faire l’achat de votre vie, une petite voix intérieure vous chuchote : « mais que va penser untel ? ». De ma voiture, de mes cheveux, de ma robe, de mon copain, de ma maison, de mon comportement en soirée, de ma remarque en réunion (rayer les mentions inutiles) ?
Et bien souvent, on se prive. Oui, on se prive. On repose la jupe, on annule la commande, on refait un énième carré court sans mèches et avec frange, bref, on se coule dans le moule de la ersonne-parfaite-qu’on-aimerait-trop-que-les-autres-voient-en-nous.
Pourtant, si on y réfléchit un peu, quand est-ce que ça nous est réellement arrivé d’en penser quelque chose ? De la voiture, de la coupe, …(oui bon je crois qu’on a compris, hein), de l’Autre ?
D’habitude, on s’en fout. On dit par politesse que c’est très joli, on fait le tour du propriétaire avec des grognements approbateurs, puis chacun chez soi, on oublie.
Et un jour, on craque. On siffle que Pierre exagère avec son gros 4×4, on éructe qu’Amélie fait vraiment pétasse avec sa mini-jupe et on vomit que si Yohann continue a manger matin midi et soir au restau, il finira comme une saucisse de francfort (bourré de gras et de cholestérol, donc).
Pourquoi tant de haine ? Précisément sur ces sujets-là, dans ces moments-là ?
J’ai une théorie : parce que ces reproches ne sont pas destinés aux autres, mais à nous. Et on se défoule sur son prochain qu’on aime, comme chacun sait, comme soi-même.
La jupe d’Amélie ressemble à celle qu’on n’ose pas porter, le guide Michelin est posé sur notre table de nuit, et la voiture de Pierre est dans notre wish-list depuis 2004 – date de la création d’Euromillions, bien entendu. On ne pardonne jamais aux autres d’assumer les défauts qu’on se trouve à soi-même.
L’enfer, c’est les autres (copyright Sartre). Mais c’est nous qui le voyons comme ça (copyright moi).
Et si on lâchait prise ? Si on assumait ? Si on se faisait vraiment plaisir ? Si on s’amusait ?
On n’est pas parfaite, Dieu merci. On a parfois des goûts inavouables, des envies que la morale réprouve(rait : qu’est-ce qu’on en sait, d’abord, mmm), et alors ? Après tout, il n’y a pas mort d’homme.
Juste un peu de légèreté et un soupçon de provocation. De la vie, quoi.
M’enfin, moi je dis ça, mais cette jupe, elle est vraiment trop courte !
Signé : Kilis ».
37 commentaires
J’ai tendance à faire tout ce dont j’ai envie, dans la mesure du possible, ce qui me permet d’éviter l’aigreur et l’envie.
Comme par ailleurs je me fous un peu de ce que pensent les autres, tout ça se goupille assez bien ;-)
PREUM’SS!!
hé hé!
ben, en fait, la jupe trop courte d’unetelle, si elle est jolie et bien portée, je dis wouaou!
je trouve qu’on est plus heureux quand on se réjouit avec les autres que quand on récrimine dans son coin.
ça fait un peu club des bisounours de dire ça mais je connais des personnes rongées par la jalousie qui en crèvent de malheur. j’ai la chance de ne pas connaitre du tout cet état.
par contre oui, untel n’a pas besoin d’un si gros 4X4 en ville oui, ça, il m’arrive de le dire en ralant…
et l’enfer c’est les autres heu, en fait souvent, ce qui m’oripile chez les autres c’est souvent ce qui pèche en moi- même.
je pense à une personne en particulier qui m’énerve souvent mais ce que je n’aime pas en elle, c’est précisément mes vielles casseroles à moi…
Je suis assez d’accord avec toi Killys…c’est pour ça qu’il est bon d’oser!!!Et comme Teatree,si la jupe est bien porté je dis waouuuhhhh!!!
Mais je ronchonne aussi sur un tas de choses,choses que je n’assume pas hcez moi…aie aie aie…On va encore verser dans la psychologie et se remettre en question…
Mais bref,en ce qui me concerne j’ai osé il y a dix ans assumer mes choix professionels et j’en ai entendu des critiques!!!Enfin c’est surtout ma mère qui s’est pris les critiques de membres de la famille me concernant!!!
Mais 10 ans après je suis toujours là,je tiens je ne regrette rien!!!Et si c’était à refaire,je le referais!!
Merci Hélène de laisser la parole à tes lectrices car ça nous permet de remettre à jour des petits trucs parfois oubliés en nous…désolée si j’suis pas très claire…rires
Ahlala, tu me rassures, Kilis…Cette fameuse jupe, je l’ai portée et assumée, malgré les regards désapprobateurs que j’ai sentis…Mais après tout, elle me va plutot bien et je me sens mimi dedans…Pourquoi je me priverais d’une sensation de bien être pour des gens qui finalement sont "jaloux" (un peu fort comme terme mais c’est un epu le fond du problème)? Du coup, elle est devenue une sorte d’emblème et j’en suis très fière!!!
"l’enfer c’est les autres heu, en fait souvent, ce qui m’oripile chez les autres c’est souvent ce qui pèche en moi- même"…
bon ben ça c’est dit…. je pense que c’est la 1ere étape pour se sentir mieux…donc j’assume.
mais comment on fait pour l’enfiler la petite jupe ? qui pourrait m’expliquer, j’attends la 2ème étape ?
je vous vois hausser les épaule, et j’entends les remarques (genre: elle s’empiffre moins, elle fait + attention, c’est le printemps qui arrive, allez au vert -de salades-.. j’aime pas le vert, j’aime pas le vert, j’aime pas le vert !)
… du coup j’ai sauté quelques étapes, et ce petit exercice s’il ne m’a pas mis en sueur et fait brulé des calories, m’aura permis de défouler mon horreur du V…..
ok aujourd’hui je suis de mauvaise humeur,,, et c’est pas le regard des autres qui m’a mise dans cet état (non j’étais plutot bien ce matin), c’est la méchanceté, la jalousie des nantis. ça me révolte !
vous savez, je crois que c’est la bétise des autres qui me fait grossir ! à force de les croiser le matin, je stock et, ça tombe sur les hanches !
Je te suis complètement, sauf sur les 4×4 ;-)). Bah oui, j’en ai MARRE de me pourrir les poumons tous les jours en vélo parce que d’autres ont des envies de grandeur, ou la flemme de se bouger le ***, et donc prennent la tuture.
Sinon ce que tu dis est très vrai, faudrait qu’on arrête de sans cesse se préoccuper de ce que vont penser les autres… mais plus facile à dire qu’a faire….
Hé hé ;-)
En tant que championne 2004 de mauvaise foi, je me reconnais bien dans cette manière de reprocher aux autres ce que je me reproche à moi-même, c’est très bien vu ;-)
Heureusement, ça n’arrive pas tout le temps, c’est quand je deviens misanthrope, hermétique au genre humain (moi y comrpis, sans doute)…
Je ne crois pas que je pense aux autres quand j’achète quelque chose.
Je pense qu’on est tous différents, heureusement. C’est cette différence qui fait qu’on aura plus de charme pour untel et pas pour un autre.Entrer dans un moule, quelle horreur.Donc pour les vêtements,je porte ce que je veux.Même si j’ai décidé de porter mon Tshirt orange avec mes ballerines assorties et ma jupe de gitane et que je travaille dans une banque et tout et tout ;-)
Je considère que c’est ma personnalité qui ressort.
Par contre, j’ai du mal à aller seule au restaurant car je n’ai pas envie de faire pitié.Je ne tricoterai pas à la cantine de mon entreprise alors que j’ai 30 mn devant moi car j’ai peur de me faire reperer.Qouique peut-être un jour, je le ferai.
Excellent billet, je suis vraiment d’accord avec ce que tu nous dis là… Et en plus c’est bien écrit.
Tout à fait d’accord avec toi, Killys ! Et j’applique ce principe dans la vie de tous les jours.
Je mets ce que je veux comme habits. A partir du moment où ça me plaît.
Je mange ce que je veux, vis comme j’ai l’intention de vivre, et mène mon chemin sans m’occuper le moins du monde du "quandiraton". Manquerait plus que ça que des gens me dictent ma conduite par leurs remarques désobligeantes.
Je suis considérée autour de moi comme une originale, parce que j’ai des idées folles, et surtout, que j’ose les exprimer. Mais c’est toujours gentil. Mes proches m’aiment avec mon grain de folie. Quand aux non-proches, je les emm., si tu vois ce que je veux dire, et par les grands vents du nord.
Et les autres peuvent se coiffer, rouler, se comporter et s’habiller comme ils le veulent. Je commente dans ma tête, parce que j’ai le droit d’avoir mes goûts, et de penser que untel fait n’importe quoi et a des fréquentations bizarres. Mais jamais ils ne le sauront. Et puis c’est jamais méchant, tout au plus ironique. Et je remercie les gens d’avoir des jupes courtes ou de dire des choses incongrues. Ca permet d’avoir des sujets de conversation, et de ne jamais s’ennuyer dans la vie. C’est pain béni.
Kilis, ton billet m’interpelle beaucoup. Je suis d’accord avec toi quand tu dis qu’il faut se faire plaisir et tant pis pour ce que pensent les autres.
Pendant longtemps j’ai été ainsi. Mais on ne peut changer qu’en prenant conscience des raisons qui nous pousse à rechercher l’approbation des autres. Pour ma part, je sais que c’était dû la peur de ne plus être aimée, d’être abandonnée et bien sûr c’est intiment lié à mon histoire personnelle.
Pendant longtemps, je n’avais pas de style (vestimentaire par exemple), et je ne disais jamais un mot plus haut que l’autre par crainte de déplaire. D’ailleurs un des meilleurs remèdes est de faire mon shopping seule !
J’ai changé mais je reste encore un peu caméléon et on me dit souvent que j’ai de grandes capacités d’adaptation et dans mon job on me considère comme la plus diplomate et de loin. Car même si je m’affirme plus, je fais quand même très attention aux autres, à ne pas les froisser etc (je mets à leur place en quelque sorte).
D’ailleurs quand je râle un bon coup tout le monde se dit oh là là, il y vraiment un problème car toi tu es toujours d’humeur égale..
Et les 4 x4, vraiment je ne peux pas, mon mari lui les regarde parfois passer d’un air rêveur. Je lui dis, de toutes façons c’est pas dans nos moyens et quand bien même cela le serait, je trouve vraiment que c’est trop vilain et que moi vivante on ne roulera pas là-dedans !! Ah, ah c’est que je m’affirme !
Le mini-jupe pas de problème :-))
j ai 50 ans depuis très peu de temps et de plus en plus je m applique de faire ce que je veux sans m occuper de l avis des autres , c est pas toujours facile c est un fait mais je me suis assez empoisonnée la vie avec le " que vont ils penser ???????? "
Coment ne pas être d’accord avec Kilis quand mon propre blog s’appelle "Les Chroniques du Plaisir" ! Oui, il faut se faire plaisir, oui, il faut écouter sa petite voix intérieure (celle du désir pas celle de la culpabilité), oui, il n’y a pas de mal à se faire du bien (copyright je sais plus qui). Donc, oui, oui, oui au plaisir assumé !
PS: Et en plus il est très joliment tourné ce papier…
Quel plaisir de lire ces lignes!
Merci Kilis pour tant de justesse dans ton analyse de la réaction des autres, de la frustration de voir faire ce que nous on n’ose pas.
Je dois souvent faire face aux jugements des gens face à mon style de vie "libéré", en particulier ma vie privée chaotique mais jubilatoire… la pression sociale est très forte, et au nom du plaisir et de ce refus de devenir frustrée et aigrie, j’ai parfois plus l’impression de mener un combat qu’autre chose…
Ma quête du plaisir devient une posture, un geste politique, presque.. J’espère changer les choses, et inciter peut-etre un jour ce qui me jalousent à écouter un peu leurs envies! :)
non jamais pour moi, je n’en ai vraiment rien à cirer de ce que les autres vont penser. Par contre "est-ce que tu en as vraiment besoin" oui je me le demande toujours, ça me paraît bien plus important.
J’aime porter de jolis décolletés, j’assume de plus en plus et parfois je reçois qques remarques empreintes d’un peu de jalousie. Mais j’ai décidé que j’allais continuer à porter les décolletés que j’aime !
J’aime beaucoup ce qui se dégage de ton billet Kilis et en plus c’est joliment écrit.
Vraiment trop courte cette jupe!
:-)
et les restaurants … beurk !
;-)
J’aime beaucoup ce message, très joli et vraiment très vrai…
Moi je n’arrive pas à me détacher du regard des autres, jusque dans mon intimité, quand j’écris, plume face au papier, je me dis "est-ce que ça ne dérangera personne ?Est-ce que ça plaira vraiment?" Manque d’assumation totale. Mais je n’ai pas (pas encore ?) trouvé la recette pour ‘aller au bout de moi-même’. Parce que dans la tête ça fait des petites tempêtes et c’est pas la fête (je suis humoriste à mes heures perdues, mais là bizarrement peu m’importe que personne ne rie =) ).
Au fait Hélène, j’ai vu sur la Une de je ne sais plus quel magazine féminin "Elles sont devenues célèbres grâce à leur blog"… On y parle de toi ?
Bisous ^^
Il me semble que si l’on s’occupe autant de l’opinion ds autres, c’est parce qu’on a peur qu’ils ne nous aiment pas, si on n’est pas comme eux
Pour moi, c’est ça.
Et plus ça va, plus j’apprends à me passer de leur approbation…
Sans doute le début de la sagesse… (Ou de la vieillesse, mais bon, on va pas chipoter )
beat sois la bienvenue ! ;-)
J’en parlais justement à ma fille (5 ans 1/2) l’autre soir qui finalement n’avait plus envie de se couper les cheveux (trop taaard) parce qu’un de ses copains lui avait dit je ne sais quoi.
Comme quoi, il est jamais trop tôt pour se rentrer dans le crane qu’on peut se faire plaisir sas avoir à plaire à tout le monde (pour elle c’est ça).
Texte bien écrit, et qui dit des choses très vraies…
bravo et merci !!
Je pense qu’il peut également s’agir d’un positionnement par rapport à la société/au groupe/à l’environnement socio-culturel-professionnel etc…et vouloir s’en affranchir peut être un signe d’évolution personnelle, d’avancée dans sa propre prise en charge.
L’enfant va vouloir faire "comme les grands"
Lorsqu’il va grandir, il va chercher à être "dans le groupe".
Les ados vont rechercher l’uniformisation, à respecter les codes communs, signes de reconnaissance et d’appartenance.
Ensuite, vient le moment de l’individualisation, de l’affirmation de sa propre identité.
Et si elle diffère du groupe de référence, le fait de prendre le risque d’être "exclu" peut faire hésiter à l’afficher. Ou tout simplement celui de blesser l’autre.
Je schématise !
On va pas être bannie de la société parce qu’on met une jupe courte et VERT POMME de surcroit !
quoique …
:-)
Si ça se trouve, les pestes qui disent du mal de ta mini vert pomme, en te voyant si à l’aise dedans, vont peut-être changer d’avis et décider que c’est hyper fashion. Et alors elles vont te COPIER !
Ca marche encore mieux si tu es connue. Quand je pense aux tenues improbables de certaines peoples que Elle présente comme "l’idée de l’été…"
Libre arbitre! Libre arbitre! Libre arbitre!
Hélène, tu es fondamentalement une anti-conformiste (cf. le billet sur les uniformes urbains dans le métro). Je partage c bien sûr même si je ne peux pas porter de jupe, verte de surcroit (quoique…).
Je vais souvent seul au(x) rexaturants(s).
J’ai vendu mon 4×4 (mais pas pour être politiquement correct hein, j’ai aussi un vélo).
Je m’achète ce qui me fait envie et point final.
Et, ô suprême audace, j’apporte ma contribution à cet univers féminin, alors même qu’à priori je n’ai rien à y faire. Ce n’est pas ce qui me plait le moins.
Oui tu peux être satisfait fla, peu de garçons arrivent à intervenir ici avec le ton juste.
En revanche ce billet n’est pas de moi, mais de Kilis ;-)
Rha… la mini jupe vert pomme… Ca me parle.
Anecdote : j’en ai une quand j’avais 17 ans. tres jolie. Ecrue et vert pomme, en fait. A carreaux. Pas une mini jupe stretch, juste une jupe trapeze assez courte (mi-cuisses). Mon oncle me l’avait offerte pour mon anniversaire.
La première fois que je l’ai portée, ça a été avec des talons. Et la, dans l’escalier, j’ai croisé mon voisin. j’ai eu l’impression d’etre deshabillee du regard. Je me suis sentie affreusement gênée d’être regardée comme ça. Mais au lieu de lui balancer ma main sur la figure, je lui ai poliment dit bonjour, et suis allee au lycée, comme tous les jours.
En rentrant à midi, à peine entrée, ma mère m’a dit "Enlève ta jupe immédiatement : j’ai croisé le voisin, et il m’a dit que je ne devrais pas te laisser sortir habillée comme ca. Il était scandalisé. D’ailleurs, il parait que tu as rougi en le croisant…"
J’ai du enfiler un jean, et je n’ai plus jamais eu le droit de porter ma jupe et mes talons… J’en veux encore à ma mère de m’avoir confisqué ma si jolie jupe, et j’ai toujours envie de cracher à la figure de son voisin, quand je le croise.
Ha, toujours ce vaste sujet sur ce qu’on s’autorise ou pas… C’est finalement assez difficile de s’affranchir du "qu’en dira-t’on"… Je ne vis pas au travers du regard des autres, dieu merci ! mais "oser" n’est pas qqch de facile pour moi. Parfois, j’ai la curieuse impression d’être une gamine subversive quand je me dis "ho et puis je m’en fiche, je le fais quand même !", à 35 ans… J’ai encore pas mal d’évolution devant moi ;-)
J’ai bcp apprécié ton billet, Killis, ainsi que les commentaires qui ont été faits précédemment. Ca "booste", je trouve :-)
Encore un beau billet qui a suscité des commentaires intéressants!
Décidément, j’aime beaucoup cette rubrique :))
Je fais partie des bisounours qui sont contents de voir la petite jupe portée par une fille à qui ça fait visiblement plaisir, mais je fais aussi partie des filles qui n’osent pas trop porter de robes à cause des gros mollets, sans pour autant faire payer les autres! ;-)))
Ca c’est un chouette billet! Et une des raisons pour lesquelles j’ai quitte la France. J’en avais marre des raleurs, des critiques, des agressions permanentes, des jalousies, du qu’en dira -t-on, et des remarques parcequ’en plus je m’en fiche!
Par contre j’aime bien faire des compliments. Si je croise une fille un peu timide de sa nouvelle robe, je m’exclame volontiers " I like your style" avec un sourire, s’il vous plait. Juste pour le plaisir de la voir se redresser…Voila. Encore plus jolie!
Donc au boulot tout le monde, sortez les robes a fleurs et la couleur, en plus c’est a la mode cette annee!
Merci, merci de ce billet si vrai. Mais sans vouloir m’avancer il me semble que c’est un problème assez francofrançais; Je vais régulièrement à londres et au Royaume Uni en général (mais j’aime beaucoup londres) et ce que j’apprécie le plus au pays de big brother, c’est ce sentiment de liberté, personne de vous dévisage dans la rue, tous les styles tous les genres se cotoient dans une grande indifférence et bien quel bonheur et quelle soupape de sécurité, j’ai eu le m^me sentiment au canada. Ca fait vraiment du bien des endroits comme ça. Le droit à l’indifférence et au non jugement.
C’est vrai nannette que la jalousie et l’aigreur sont bien franchouillardes, hélas ;-)
Mon commentaire ne va pas être hyper long, car voilà ce que j’ai à dire: C’EST TELLEMENT VRAI! Tu parles pour moi! MERCI d’avoir écrit ce que je pense …. ça fait du bien de ne pas se sentir seule….. ;-)
Ca c’est bien vrai, et pour avoir passé l’épreuve de la mini jupe, on se dit que finalement ce n’est pas si terrible…