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Benchmark bronzé

28 avril 2006

consoHi hi je suis fière comme un pou c’est la première fois que j’utilise le mot benchmark, je trouve ça méga pro ! ;-)

Pour la première fois de ma vie je viens d’acheter 60 millions de consommateurs. Je l’ai pas pris pour les conseils juridiques en cas de construction de pavillon en banlieue, notez (et ça ne vous étonnera pas), mais parce qu’ils font un benchmark des autobronzants. Je pouvais pas rater ça.

Pourtant l’autobronzant j’ai HORREUR de ça : ça pue, ça colle, ça fait orange, ça jaunit les ongles (oui même en lavant bien). J’en ai essayé des dizaines, je suis toujours déçue. J’en mets quasiment plus jamais, je préfère encore être blanche que jaune (en plus l’odeur est vachement persistante, le lendemain ça sent encore).

Et encore je ne vous parle que du corps, sur le visage j’ai renoncé depuis encore plus longtemps, ça fait juste ressortir les imperfections en marronnasse. Génial. Encore une grande invention.

Mais à la lecture de ce canard plein d’infos intéressantes, je me dis que je vais peut-être retenter le coup : d’après leurs tests (manifestement très rigoureux) le plus réussi est le Sublime Bronze de l’Oréal en flacon-pompe (8 € et des bananes), largement devant les Dior et autre Lancôme.

En plus il fait visage et corps, je trouve ça assez généreux quand on voit le nombre de marques qui profitent de la manne pour vendre deux produits au lieu d’un.

Voilou les girls vous savez tout, et vous aurez même pas besoin d’acheter le journal (qui coûte quand même 4,20 €, soit un demi flacon de Sublime Bronze ;-)

Edit : aujourd’hui 30 avril j’ai testĂ© le Sublime Bronze, que j’ai payĂ© 11,90 € et non 8 comme promis, mon Monop est ruineux. Odeur agrĂ©able, ne colle pas, couleur a priori OK sur les bras et le dĂ©colletĂ© (mais une seule application donc Ă  confirmer après plusieurs). En revanche j’ai les mains couvertes de traces oranges absolument dĂ©mentielles, jamais je n’ai vu un truc pareil. Application Ă  perfectionner, donc (pourtant je suis la reine du gant de toilette humide, il y a un truc qui m’Ă©chappe).

Edit again : nous sommes le 1er mai et je suis orange des Ă©paules au bout des doigts (deux applications). Saloperie de crème. Christèle avait raison, plus jamais d’autobronzant. J’ai Ă©tĂ© eue une fois de plus, allĂ©chĂ©e par le sĂ©rieux du magazine. Il faut croire que pour leurs testeurs bronzĂ© = orange, j’ai plus qu’Ă  essayer le Roc d’Anaik, ou Ă  racheter directement le Tekoa de LiĂ©rac qui pue, colle, et coĂ»te la peau, mais dont je trouve le rĂ©sultat naturel.

La vie est une jungle.

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Régime détox

27 avril 2006

potalaAha ! Vous y avez cru hein ! Vous avez espéré un bref instant que je cédais à la loi rampante de la sous-nutrition et que j’allais vous donner des recettes spéciales minceur saine, ou dieu sait quoi de révoltant du même acabit. C’est mal me connaître les filles, j’ai plus de résistance que vous ne croyez.

Ce qui suit est néanmoins parfaitement sérieux, et je dédie ce billet à Delphinoid à qui je dois cette recette venue d’Asie : boire une tasse d’eau chaude (bouillie quoi). Quand vous voulez (vous pouvez aussi manger du saucisson, si ça vous fait plaisir, en même temps le saucisson c’est moyen détox comme aliment).

Comment ça c’est tout ? Vous en avez lu beaucoup des billets recommandant de boire uniquement de l’eau chaude ? Parce que eau chaude + citron on trouve, eau chaude + plantes diverses aussi, mais eau chaude seule ?

Eau chaude + citron j’ai essayé, au saut du lit pour faire comme les stars et clarifier mon teint, j’ai cru choper douze ulcères dans la minute. Plus jamais ! C’est épouvantable ce truc. C’est peut-être détox, mais le Maalox sûrement pas, donc niet.

Avec l’eau seule on évite cette terrible acidité, et c’est réellement réputé pour détoxifier l’organisme. Me demandez pas pourquoi, j’en sais rien. Mais il y a une raison scientifique et rassurante quelque part, n’en doutez pas (en même temps vous prenez pas des risques super élevés à faire chauffer de l’eau du robinet, soyez pas trouilloux comme ça).

Bien entendu j’ai essayé, pensez-vous, j’adore les trucs nouveaux. Et ben c’est même pas mauvais dites donc ! On dirait presque du thé, c’est très agréable à siroter. La mise en œuvre est pas monstrueusement compliquée non plus, pour une fille normalement constituée (= flemmarde) ça compte.

J’ai bu ça en sortant d’un soin, pour drainer les toxines libérées par le massage. J’étais très contente de moi, j’avais l’impression d’être un moine bouddhiste marchant pieds nus dans la neige. Comme dans Tintin au Tibet, quand le Grand Précieux se met à voleter au-dessus du Potala (oui bon, c’est presque ça). Je m’étais même dis que je boirais pas de vin le soir pour poursuivre ma quête de pureté intérieure. Résultat : j’en ai bu un seul verre (au lieu de plus). Bref, j’approuve et je réitère. Merci Delphine ;-)

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La saga du chudidarh

21 avril 2006

tanjoreJe viens de réaliser que rien ne vous oblige à aller lire mon journal de voyage en Inde du Sud, ce qui est bien dommage (pas au point, cette dictature). Je m’en vais donc vous raconter des trucs de fille de là-bas, ça vous fera une petite sélection.

Quand les indiennes ne sont pas en sari elles portent le plus souvent un ensemble appelé chudidarh dans le sud et salwar kameez dans le nord, composé d’un pantalon resserré en bas et d’une longue tunique, avec étole assortie. Elles sont rarement habillées à l’occidentale en dehors des grandes villes, et même là c’est à peine moitié-moitié.

Les écolières sont en uniforme, jupe bleu marine et chemisier blanc ou chudidarh (une couleur par classe, comme sur la photo, prise par l’Homme au grand temple de Tanjore).

Ce sont comme chacun sait les plus belles femmes du monde, et bien entendu je mourais d’envie de leur ressembler (ça fait partie du syndrome indien). Dans un moment d’égarement, j’ai cru qu’il me suffirait de m’habiller comme elles pour y parvenir, et me suis lancée avec fougue dans la quête du chudidarh idéal à travers le Tamil Nadu (capitale Madras, en bas à droite sur la carte).

J’aime autant vous dire que trouver une fringue à ma taille dans ce pays de tanagras délicates relève de l’exploit, et j’en ai essayé des machins trop petits avant de trouver mon bonheur.

Je ne compte plus les fois où je me suis retrouvée en pleine rue devant une échoppe de vêtements, coincée les bras en l’air dans une tunique taille 12 ans (of course madam it is your size), rouge et suante (30 degrés, 80% d’humidité, super pour faire des essayages en gardant ses vêtements dessous), et glapissant hargneusement à l’Homme de me sortir de là au lieu de se bidonner.

Le pantalon en revanche est fait pour aller à tout le monde, car on ne l’essaye pas et à partir d’un certain âge les indiennes sont de sacrées matrones. Il est très large au niveau du postérieur, resserré aux chevilles, et noué par un lien coulissé à la taille. Trop classe je vous dis que ça. Heureusement qu’il y a la tunique par-dessus, j’ai jamais vu un truc aussi moche et peu seyant.

J’ai fini par opter pour le sur mesure, extrêmement courant en Inde et qui coûte peanuts. J’ai choisi un tissu rose layette dont j’étais persuadée qui me ferait ressembler à une créature fine et brune aux gestes délicats. C’était compter sans mes cheveux très courts à l’époque, mes lunettes, ma peau blanc occidental et mon gabarit de mangeuse de camembert. Le tailleur a dû s’y reprendre à deux fois parce que même les manches étaient trop étroites. J’avais l’impression d’être Josiane Balasko au pays des elfes. Hyper bon pur l’image de soi.

Bon public et contente malgré tout, j’ai enfilé fièrement mon ensemble rose pour aller au temple pendant que l’Homme se roulait par terre de rire en découvrant la coupe du pantalon (honnêtement il y a de quoi).

J’en ai fait faire un autre dans un boui-boui de Pondichéry où les mecs parlaient à peine anglais et où j’ai expliqué par gestes que je voulais une application de motif rose sur fond rouge ou l’inverse (résultat : d’après l’Homme je ressemble avec ce truc à Bozo le Clown, je l’ai jamais porté).

J’en ai acheté un bleu nuit dans une échoppe de Chidambaram, bled si peu touristique que les vendeurs ont demandé à être pris en photo à mes côtés (les indiens font beaucoup ça, quand on est en maillot de bain c’est plus embarrassant).

J’ai trouvé les deux plus beaux dans une boutique bobo de Cochin, ils ont été parfaits pour sortir dans les restos chics et les bars branchés de Bangalore.

C’est une tenue très agréable à porter parce qu’elle masque les formes du corps. En Occident on n’a pas l’habitude de ne pas montrer son corps (tout est plus ou moins moulant), et c’est extrêmement reposant.

Porter un chudidarh m’a donné accès à une autre idée du vêtement : celui qui est fait pour protéger et couvrir le corps, et non l’exhiber, tout en restant ravissant et très féminin. Et ça, quand on n’est pas foutue comme Laetitia Casta, c’est une découverte super agréable !

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Vente Privée, danger public

7 avril 2006

kleinPfff c’est la cata, j’ai encore acheté plein de trucs sur Vente Privée.

Je peux pas résister, c’est tellement rare qu’il y ait ma taille que je clique hystériquement sur tout ce qui pourrait m’aller (vous avez noté le conditionnel) en étreignant ma carte bleue.

Donc là des soutifs. Calvin Klein, super beaux. Et pas chers du tout bien sûr, pour 27 € j’ai une nuisette, deux soutifs et deux strings. Tout ça rose poudre à tomber par terre, divin.

Le hic c’est que j’ai osé croire que j’aurais le courage de les renvoyer si ça n’allait pas.
Grave erreur, je n’ai jamais le courage de faire ce genre de truc, je suis bien trop flemme.

Non mais aussi quel intérêt d’envoyer 7.000 mails au Service Clients puis de se traîner faire 3 ans la queue à la Poste, tout ça pour récupérer misérablement 12 € ??

Ca vaut pas l’énergie dépensée. Je préfère donner ce qui va pas à une copine, comme j’ai fait à la dernière soirée Facholand & dons (oui ça s’appelle comme ça désormais).

Quasiment tout dans ce colis est consternant à l’essayage, ça va de soi : la nuisette me file un look d’une vulgarité abominable (dodue + nuisette = à éviter) et l’un des soutifs me scie le nichon en deux (très mauvais pour la ligne, comme aurait dit Marilyn qui n’en portait jamais – des soutifs, pas des nichons).

Je vais quand même garder la nuisette parce que je la trouve trop jolie, mais je la porterai jamais, j’ai le sens du ridicule (l’Homme va être très déçu, pour je ne sais quelle obscure raison perverse il me trouve ravissante avec).

Le scie-nichon, ça m’arrache un peu la gueule de m’en débarrasser parce qu’il est sublime, mais je sais pas si ça va être possible de passer mes journées voûtée sans respirer pour éviter de bomber le torse.

Une fois de plus j’ai fait une affaire en or, j’ai dépensé 27 € (que j’avais pas) pour des trucs dont j’avais pas besoin (et qui me vont pas).

J’ai déjà acheté comme ça un ravissant tee-shirt Timberland trop petit (ils avaient vendu toutes les chaussures, j’allais pas repartir les mains vides), de la lingerie Dim trop petite aussi, sauf les strings légèrement trop grands (je pensais pas que c’était possible, ils me remontent jusque sous la poitrine comme des bretelles, c’est déroutant), un très beau chrono Festina que je ne mets jamais parce que j’ai horreur de porter une montre (la question « mais pourquoi l’as-tu acheté ?» n’est pas pertinente), et un téléphone sans fil que je ne décroche pas quand il sonne parce que j’aime pas le téléphone (l’Homme s’en sert pour appeler sa mère, on n’a pas tout perdu).

Je devrais peut-être enlever ce site de mes favoris, je suis pas sûre que ça soit prudent de l’y avoir mis…

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Mon nouveau bureau

30 mars 2006

elleJ’avais pourtant dit que j’irais pas bosser en banlieue…vouaye, mais pour aller chez Hachette Filipacchi à Levallois il faut passer le périph, pas moyen d’y couper.
Et chez Hachette Filipacchi à Levallois, il y a la rédaction de Elle.fr et Elle tout court. Ca motive, pour passer le périph.
Voici donc mon nouveau bureau virtuel (mon honneur est sauf, je bosse surtout chez moi) : la nouvelle version de Elle.fr,
mise en ligne hier soir. Elle est vachement mieux que l’ancienne qui était moyennement excitante, et en plus elle est entièrement accessible à tous, alors que l’ancienne était à moitié réservée aux abonnés, c’était pas dans l’esprit du web, à mon sens.

Je m’occupe de l’animation des blogs (ceux des journalistes de la rédaction et ceux des internautes) et du Forum.

Je suis complètement ahurie d’être là alors que je m’ennuyais à mourir à organiser des voyages il y a encore six mois, et qu’une telle perspective me paraissait mille fois trop belle pour être vraie !

Réaliser un rêve à 36 ans c’est un sacré cadeau du ciel, et découvrir qu’on peut changer complètement de métier ça ressemble un peu à un miracle !

Tout ça grâce à mon blog. Je n’osais espérer, en le créant il y a six mois, qu’il m’aiderait à me reconvertir !

Allez, romanée conti pour tout le monde, c’est ma tournée ! ;-)

PS : Il reste quelques bugs qui traînent ici et là, soyez indulgentes ;-)

PS 2 : le site fonctionne beaucoup mieux sous Internet Explorer que sous les autres navigateurs, donc n’est-ce pas bien sĂ»r, y’a plus qu’Ă . Enfin vous faites comme vous voulez, mais moi j’aime autant un truc qui marche ;-

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Say Alleluiah !

22 mars 2006

macAprès de années de recherches infructueuses et désespérées (et ruineuses), j’ai enfin déniché THE anti-cernes qui déchire sa race.

C’est pourquoi je suis depuis ce matin postée sur mon balcon à chanter des cantiques, après avoir sacrifié quelques lapins noirs pour célébrer le miracle (les poules c’est moche et grippé).

Evidemment je mens, qu’est-ce que vous croyez, j’ai pas de balcon.

Et si j’en avais un j’irais pas, il pleut.

J’aurais pu y penser avant, notez, je suis un peu gourdasse, mais on peut pas avoir toutes les qualités : déjà que je suis déjà titulaire du permis B, dodue et télégénique, dans l’état actuel de choses je peux guère mieux faire.

Mon nouveau cache-misère vient de chez M.A.C, tout bêtement. Yep, le fabricant de cosmétoches canadien (source : Esme évidemment, cette petite sait tout, c’est pas compliqué).

Sont réputés pour avoir des trucs de pros, et c’est pas des blagues : ils ont au moins trois formules d’anti-cernes différentes, dans genre 15 teintes chacune (pour de vrai).

Je tenais beaucoup à un truc en pot parce jusqu’ici j’avais un crayon, or un crayon ça se taille. Il faut trimballer le taille-crayon en vacances, pour commencer, et on jette plein de produit. Je ne garde pas les taillures de crayon pour me maquiller, vous me prenez vraiment pour une rados ou quoi (comment avez-vous deviné que l’idée m’avait néanmoins traversé l’esprit ??).

Et pis il était un peu trop poudré et marquait les rides de mes yeux, ce qui ne me semble pas indispensable. Ben oui j’ai des rides aux yeux, comme toutes les filles de mon âge, moi je vous le dis les girls le lifting n’est pas loin.

Mon petit pot M.A.C contient une substance très couvrante (mes cernes sont d’une résistance à toute épreuve) sans faire de platras, ce qui est un exploit sans précédent dans le monde impitoyable de l’anti-cernes.

La teinte est exactement celle que je cherchais, et vous savez quoi ? Il coûte 11 €. Un peu la folaïe quoi. Prenez pas cet air effaré, il m’est arrivé de payer jusqu’à 27 € pour un anti-cernes, donc à 11 € je chante des cantiques sur mon balcon que j’ai pas.

Heureusement qu’il y a M.A.C dans la vie , parce que si on devait attendre le printemps pour rigoler, nous les parigots, on passerait l’année à faire la gueule dans le métro ;-)

PS : je découvre en allant sur le site de M.A.C vérifier qu’ils sont bien canadiens (yes ! la réputation d’Esme est intacte), qu’ils ont 18 points de vente en France, dont Lyon, Lille Aix, Toulouse, Strasbourg, Saint Laurent du Var (sais même pas où c’est ? dans le Var, OK, mais encore ??), Saint Tropez, Cannes, et Nice.

Enfin des gens pas aveuglés par les lumières de la capitale, bravo, tabernacle, etc !

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Bonne nouvelle les filles !

18 mars 2006

mendigoteLa boutique Petite Mendigote a reçu de nouvelles pochettes à messages ! J’en sors, j’en ai évidemment acheté trois (pour faire des cadeaux, soyez pas mauvaises langues), impossible de me décider, entre les couleurs et les textes.

Alors, vous avez les couleurs suivantes : bleu canard, rose corail, jaune, rouge foncé, gris foncé (pas sur la photo).

Du côté des messages, ça va de : je suis belle, je suis adorable, cash forever, diet forever (ouuuh), a princess never cooks, à : Cindy Claudia Naomi and me, wonderwoman, et j’en oublie sûrement.

10 € la pochette, idéale pour le maquillage ou n’importe quels petits machins que vous en avez marre de perdre dans votre sac, et c’est même pas de la mauvaise qualité. J’en ai deux que je traîne dans mon sac depuis des mois, elles résistent très bien. La vendeuse m’a dit que ses autres clientes les passaient à la machine, moi j’avais pas osé mais c’est bon à savoir.

Pour celles qui étaient frustrées de ne pas en trouver cet hiver, voilà de quoi rattraper le coup ! ;-)

PS : l’adresse, quand même : Petite Mendigote, 23 rue du Dragon, 75006 Paris, métro Sèvres Babylone ou Saint Germain des Près. Ouvert le lundi de 13h00 à 19h00, du mardi au vendredi de 11h00 à 19h00, et le samedi de 10h30 à 19h00.

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J’en ai rêvé, Alexandre l’a fait

17 mars 2006

alexandreAlexandre de Paris, oui madame, le coiffeur de la grande bourgeoisie chignonesque.

Vous pouvez pas l’avoir loupé, tous les mags féminins en ont parlé (après si vous lisez que les Echos je peux rien pour vous hein) : c’est un serre-tête en forme de montures de lunettes, pour faire comme les filles qui remontent les leurs sur leurs cheveux pour les tenir.

Alors il faut que vous sachiez un truc, j’ai TOUJOURS rêvé de pouvoir tenir mes cheveux avec mes lunettes (de soleil, notamment), j’adore, c’est la méga pétasse attitude.
Seulement sur moi ça marche pas : ma tête est trop étroite, ou dieu sait quoi, en tout cas AUCUNE monture ne tient dessus. Je bouge la tête et paf, tout se casse la gueule. C’est nul, ça me prive du look anti-bonne soeurique dont je rêve tant, je suis très frustrée.

Grâce au ciel et à Alexandre, je suis sauvée : ce serre-tête n’est pas une vraie monture, ce qui fait qu’il tient, même sur une tête comme la mienne.
Victory, glory, and so on.

Bon évidemment ça coûte la peau, soit 35 € (on est chez Alexandre les girls, pas chez Tati). C’est pas grave je l’ai pas payé, c’est ma copine du vanity-glacière qui me l’a donné. Je trouve ça trop cher pour ce que c’est et je l’aurais pas acheté, mais si on me le propose gratos
je dis pas non.

Ce truc est miraculeux, il a tenu toute la journée sur ma tête sans bouger d’un poil.

Bon évidemment il y a un tout petit détail qui pose problème : si je mets mes vraies lunettes en plus, dans l’espoir d’y voir vaguement quelque chose, j’ai juste l’air complètement folle.

La vie est une jungle.

PS : je sais la photo est pourrie, croyez-moi vu de quoi je suis partie c’est dĂ©jĂ  pas mal d’ĂŞtre arrivĂ©e Ă  ça.

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Thank you, Fred

16 mars 2006

fekkaiJe lui parle en américain parce qu’il a émigré aux states où il est devenu une star capillaire, je tiens à être comprise du Maître.

Je me suis enfin dĂ©cidĂ©e Ă  essayer de la bonne came pour mes cheveux, plutĂ´t que des machins de supermarket Ă  2 €. Il faut dire aussi que j’étais chez Sephorette, les yeux attirĂ©s par tous les coins du magasin…

Et ben ça fait une différence, je voulais pas le croire mais c’est vrai.

Ca saute pas aux yeux de façon démentielle non plus hein, mais moi je le sens : mes cheveux / queues de rat sont encore plus doux et brillants que d’habitude, et ils sont aussi moins mous qu’avec les autres après-shampoings. Je sais pas comment dire, ils semblent un peu plus vivants, plus vigoureux.

Donc je dis merci Frédéric Fekkai, ton glossing conditionner vaut 18,50 € les 200 ml, mais il est efficace et en plus il sent bon le frais (contrairement à tous ces produits aux immondes parfums sucrés).

Je vais juste essayer d’en mettre un peu moins qu’à l’ordinaire (1/3 de tube chaque matin) pour que ça dure un peu, sinon bonjour la ruine ;-)

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177, 178, 179…

9 mars 2006

minelliQuoi ? Je compte mes sacs, je viens encore d’en acheter un. Bon j’exagère, j’en ai pas autant, mais la pile augmente quand même de façon un peu inquiétante.

Je crois que je vais prendre une grande décision, et me débarrasser de TOUS ceux qui ne sont pas en cuir.

Ben oui il faut bien un critère de sélection, je peux pas tous les garder, j’en ai plein que j’utilise jamais, c’est du gâchis.

J’ai été très forte pour celui-là, j’ai attendu au moins quatre jours entre le moment où je l’ai vu pour la première fois et celui où j’ai craqué. Ceci dit j’ai bien fait de pas attendre plus, c’était le dernier de la boutique. Comme quoi il faut toujours se jeter sur un truc qui plaît, un bon tiens vaut mieux que deux tu l’auras ma bonne dame (surtout pour un 177ème sac, y’a des priorités dan la vie que diable).

C’est un Minelli, et figurez-vous que c’est du plastoc. Ou de la peau d’extra-terrestre, voire même du shashmut mercerisé (copyright Marion), en tout cas pas du cuir. D’où un prix extrêmement raisonnable (60 €). Ben oui c’est raisonnable, je m’essscuse bien mais par rapport au Balenciaga (935 €), tout à fait au hasard, c’est de la petite bière.

Et il a justement un faux air du Balenciaga grâce à ses zips en biais, et du Darel grâce à sa matière souple et sa taille. Les designers de chez Minelli ne sont pas fous, ils ont bien compris ce qui faisait courir les filles cette saison.

On ne peut pas le porter à l’épaule (enfin pas avec un manteau), mais après un hiver entier à me coller des crampes dans l’omoplate à force de retenir mon sac qui glisse en crispant toute l’épaule droite, je pense que ça va me faire des vacances de le porter à la main. Ou à la saignée du coude, selon le degré de pétasserie que je voudrai imprimer à me tenue.

Il est sublime, j’en suis folle (les chaussures aussi sont classes chez Minelli cette saison, une fois de plus, mmmm, combien de temps vais-je résister ? ;-))

PS : à l’heure où je mets en ligne ce billet j’ai déjà vécu deux jours avec new Minelli, et je dois avouer qu’une fois plein (voir
l’article de Deedee sur les sacs de filles), il est affreusement lourd et me file des courbatures dans le bras droit (j’ai essayé de changer de main, ça veut pas). Rien n’est parfait en ce bas monde, c’est la triste leçon que je tire de cet achat (sans pour autant le regretter, vous m’aurez pas comme ça ;-))

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